jeudi 9 août 2012

Elfic un jour, elfic toujours

Yop, je sais, je suis, comme toujours, à la bourre. Mais je crois qu'au final, y a que moi que ça turlupine, alors, vlouf ! Tant pis !

 Cette fois-ci, je pousse même le manque de correction à son paroxysme en vous présentant mes compte-rendus dans un ordre non-chronologique. Car, oui, d'abord, j'aurais du vous chroniquer le salon Made in Asia, qui a eu lieu le dernier week-end de Mars. Mais c'était un festival dont il y avait plein de choses à dire, et là, j'ai la flemme. 

Alors, je commence plutôt par un petit truc plus pépère, à savoir, le salon les Elfic (les Événements Ludiques sur le Fantastique et l'Imaginaire à Centrale)organisé par les élèves de l'Ecole Centrale Paris et qui avait lieu les 12 et 13 mai 2012 à Châtenay-Malabry (si, si).

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Avec une affiche dessinée par Marie/Nallee, du studio Oneira.
Pour Obscurus Presse, nous, c'était une grande première. 
On avait entendu que c'était un salon très tourné "jeu de rôle", que ça risquait d'être désert...mais qu'importe, nous, on voulait voir. 
Et grand bien nous en a pris.

Tout d'abord, les conditions étaient assez cocasses. 

Jeanne, la chef en chef, était venue chez moi pendant 8 jours et on avait un peu bossé mais beaucoup geeké, glandé, gloussé, bref plein de trucs cools. Puis, deux jours après son départ, zuip, pif, boum, je partais en Irlande pour une micro semaine de 5 jours voir mon amie Cha, à Dublin. Je rentrais le vendredi soir à 23h à l'aéroport de Beauvais, et le samedi matin, je devais être fraiche et pimpante à la convention en région parisienne ! Du fun, du fun, DU FUN !
Et vu, que je n'ai plus de logement parisien (pour le moment !), on a été squatter en grande pompe ma pote Sarah, la castagnette la bien nommée. Un peu à l'arrache donc, mais on avait la volonté. Y a que ça qui compte.

Le samedi matin, donc, on se retrouva à gare du Nord ! Embrassades, joies des retrouvailles, même si on s'était vues 10 jours plus tôt...Mais quand on aime ...

 Et hop, on bondit gaiement dans le RER, pour partir à perpet' les galettes tout au bouuuuuuut du RER B, juste Jeanne et moi. Vu que c'était une petite convention, on se l'est joué intime. Histoire de nous soutenir et d'apporter un peu de jeunesse à notre équipée, sa sœur Mathilde nous a rejoint, plus tard, en début d'aprem.

Bref, nous sommes parties toutes les deux, pleine d'allant et chargées comme des bourriques jusqu'à "Croix de Berny". Et là...Hum, chouette, par où allons-nous ? Une chance, il faisait un temps superbe.
 En sortant et après avoir joyeusement trainé la valise (aux roulettes cassées) avec tout le stock d'OP dedans (allez...50 kg la valise ?), on était JOIE quand on a vu des petites pancartes qui luttaient contre le vent et les automobilistes avec marqué "Elfic" dessus. 

Ni une, ni deux, on commença à suivre le chemin fléché...Mais après quelques suées, on s'éloignait de plus en plus de la civilisation, et on s’apprêtait à s'égarer le long d'une voie express.
 Not a good sign. 

Jeanne, parce que c'est la chef et qu'il y a bien quelques raisons valables à ça, décrocha donc son portable pour appeler l'un des orgas. Qui, malgré nos indications, ignorait totalement où nous étions et ne nous fut donc d'aucune aide. Mais, malgré son air dubitatif, se proposa de venir à notre rencontre. Good boy.

Nous, pendant ce temps-là, on décida de faire demi-tour, toute environnée de poussière et de gravillons roulants (vous savez, un peu comme dans les westerns, avec la botte de paille qui roule dans le lointain). Le tout sous le soleil. Moi, avec mes petits bottillons et ma jupe en velours, j'avais la classe, à trainailler dans la poussière tiens ! Et encore, là je ne tirais pas la valise ! 

Finalement, on repassa devant la pancarte fléchée ( tournée dans la mauvaise direction par un petit malin, on l'apprendra plus tard. J'espère que ses tripes vont pourrir), et quelques foulées douloureuses plus tard, on croisa le p'tit môssieur (au look adorablement geek. Quand on vient de l'école Normale et qu'on organise une conv' rôliste, forcément, on peut se douter qu'il y aura quelques signes distinctifs..) qui nous a confirmé qu'on était sur le bon chemin. Et qu'en gros, fallait encore marcher genre longtemps, et que, oui, oui la pente gargantuesque avec une inclinaison de 20 %, recouverte de gravillons traîtres, c'était le bon chemin pour aller à la salle dédiée à la conv'. Je rappelle que la valise pesait le poids d'un âne mort et que les FU****G roulettes étaient cassées !

Il nous laissa, là, défaites, face à notre destin et à ce triste constat pour aller vérifier les autres affichettes.

Avec Jeanne, je crois qu'on a dû échanger des regards déchirants. Puis,  on a dû se chanter *Eye of the tiger* ou un truc du genre et on est parti au combat. Jeanne sur la première moitié de la pente, et moi, pour le reste.

J'ai immortalisé la pente, rien que pour vous, petits lecteurs. 
Appréciez. 
Notre sang et notre sueur y ont coulé.

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The deadly pente of the DEAD

Honnêtement, je ne sais pas combien de temps il nous a fallu pour affronter ça...mais je dirais qu'on a bien dû marcher une heure. Voire plus. Je pense qu'on a dû arriver, agonisantes, en haut du truc, sur le coup des 11h-11h30, dégoulinantes, essoufflées, meurtries.

Heureusement, il n'y avait pas foule. 
bieeeeen loin des affluences d'une Japan expo ou autre Paris manga. Ce qui n'était pas pour nous déplaire. J'avais peur qu'en arrivant tard on rate des visiteurs, mais je pense qu'on était plutôt bonnes niveau timing, aussi surprenant que cela puisse paraître.
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La salle des exposants amateurs, où nous nous trouvions.



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Le temps de reposer nos pieds, nos petits corps endoloris, et de reprendre notre souffle, on a pu observer l'environnement. 

Les bâtiments (qui sont des résidences universitaires en fait) sont plutôt accueillants. Je n'ai découvert que pendant l'aprèm quand je suis allée me balader un peu, mais en fait, c'était grand ! J'ai été très agréablement surprise.

Il y avait la salle où nous étions, lumineuse, et aérée, qui donnait sur l'extérieur (avec démonstrations de passe d'armes, stands un peu comme à trolls et légendes avec vendeurs de cuirs, de vêtements médiévaux, bouquins fantasy, et même cochon qui grillait sur sa broche !), et deux/trois grandes salles en contrebas à l'intérieur, avec jeux de rôles, jeux de plateaux et figurines, plus un endroit pour des concerts. Car, ouaip, John Lang/PoC, entre autres, était dans la place. Il s'est rappelé à notre bon souvenir (du pot de nutella) et nous a fait un coucou rapide avant de filer en dédicace. Ça fait toujours plaisir. 

Donc, une fois, séchées, nous avons pu installer le stand tranquilement et...suprême des plaisirs, ravissement des sens: on nous a proposé thés, cafés, jus de fruits. ET GRATIS EN PLUS !  C'était, et au combien, bienvenu. Je crois que la demoiselle qui nous a servi a pris peur en voyant mon air gourmand et la lueur dans mes yeux, tellement j'étais reconnaissante.

Non, mais sérieusement, ce n'est pas extraordinaire ça ? Nous, on n'en revenait pas.

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Le paradis, ça ressemble un peu à ça.
Niveau fréquentation, c'était calme. Mais on a échangé avec plein de gens charmants et avenants. L'entrée gratuite du festival (là aussi, une première pour nous !), devait aussi beaucoup y jouer.
 Des visiteurs, de tous âges qui semblaient toujours partants pour échanger et discuter et se montraient intéressés, comme d'autres exposants ont égayé notre début de journée. Le tout entrecoupé de "vous n'avez besoin de rien ?", "un bout de gâteau ?", "un thé peut être ?". JOIE.

Je garde un très bon souvenir du voisinage (un peu lointain) avec le sympathique Philippe Halvick, et de la rencontre enjouée avec Michel Redal , copiste et calligraphe, qui nous a conté l'histoire envoûtante et rudement attractive du titivilius, petit démon qui se nourrit des fautes que les moines copistes laissaient traîner dans les textes sacrés. Jeanne et moi, lui avons donc  illustré notre version du petit personnage en l'échange de l'histoire. Et, lui, nous a offert à chacune, notre prénom calligraphié, en plus de nous customiser de fort joli manière notre livre d'or. 

Un très bel échange et une chouette rencontre, vraiment.

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Le livre d'or customisé
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l'atelier du calligraphe...sans le calligraphe !

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Je n'aurai pas mieux dit.
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Le Titivilius de Jeanne.
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Et mon Titivilius à moi.
Mine de rien, avec tout ça, on était déjà en début d'aprem, et après quelques inquiétudes quant au silence de Mathilde (qu'on craignait de voir  s'égarer, comme nous avant elle...), on a fini par la retrouver. Notre team était donc , enfin, au complet.
 On a donc célébré ça à coup de jus de fruit et de croque-monsieur GRATUITS, payés avec des petits jetons qu'on nous avait remis en début de journée. Et, en plus de ça, ils étaient ultra bons, ces encas !
Orgasmique, en somme.

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Team du Ch'nord UESH.

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PAS DE QUARTIER

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On a la classe, ou on ne l'a pas.

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Le reste de la journée s'est écoulée doucement, au gré de quelques rencontres, échanges. On crobardait un peu, et on papotait entre nous. Au final, je me rends compte que je ne m'y suis pas ennuyée, même si je n'ai que très peu bougé du stand, même s'il n'y avait pas foule, contrairement à MIA, où c'était vraiment LA MORT ! 

On y a croisé un public divers. 
Des rôlistes, certes, mais aussi des familles de passage, des mamies en goguette, des djeun's de nos âges venus spécifiquement pour la conv', des gens égarés là et qui s'y trouvaient bien, et même des gamins d'un centre de loisirs et leur accompagnateur. Nos baguettes magiques ont remporté un franc succès. Nous avons été à la fois hilares et horrifiées quand l'un des bambins (11-12 ans à vue de nez), en voulant tester la baguette, l'a brandie vers Mathilde  avec une lueur lubrique dans l’œil et en s’exclamant "METS TOI TOUTE NUE". C'était...cocasse !
Ah ces chers petits...toute l'innocence de leur bel âge. Ahem.

On a aussi croisé un boulet de compet' et un photographe insistant, mais, sinon, rien de bien grave à déplorer.

Entre deux, j'ai un peu crobardé, mais point de commande, à part une que Jeanne a dessiné et que j'ai mis en couleur, pour Natacha, une habituée de chez nous.
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Dessin de Jeanne et couleurs de moua ! Une collaboration, en somme ! Huhu.

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Un Dumbledore, dessiné pour le fun et qui a finalement trouvé acquéreur.

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Un Godric Gryffondor, médiéval à souhait pour attirer le chaland.
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Un Batman, pour Mathilde. Oui, je m'ennuyais un peu, alors j'ai digressé. Voilà.

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MIOM MIOM MIOM !
Il y avait plein d'activités qui duraient jusque tard le soir, avec parties de jeux de rôle nocturnes et concerts et personne ne s'occupait vraiment de nous et de l'heure jusqu' à laquelle nous restions. Nous avons donc traîné jusqu'à 19h environ, avant de remballer le stand...puis une autre folle équipée commença.

Nous avions prévu de rejoindre ma pote Sarah sur les bords de Seine, à une fête d'anniversaire de gens que je ne connaissais que partiellement (et Jeanne pas du tout), et en même temps, Jeanne devait croiser sa pote Mathilde, pendant que sa sœur (oui, l'autre Mathilde, vous suivez ?), rentrait sagement dans ses pénates. Avant de nous retrouver dès le lendemain pour de nouvelles aventures.

Et bien la pente, en descente, et sans valise, c'était vachement plus agréable !
Une fois arrivées à Notre-Dame, on a retrouvé la (nouvelle) Mathilde, on s'est offert notre traditionnel Subway post-convention, et on a rejoint la foule assemblée sur les bords de Seine. On a bien papoté, moi, notamment, avec la pote de Jeanne avec qui on a vite bien discuté de tout et de rien. La soirée a duré, jusque la nuit, un peu tardivement pour nous qui étions crevées, et donc, plus très loquaces. Après tout, nous étions levées depuis fort tôt. Moi, je revenais de Dublin (donc, dormi 4h, le temps de préparer mon matos pour la convention et de geeker jusqu'à pas d'heure) et Jeanne, la folle-dingue, avait carrément fait une nuit blanche.

 On a raccompagné Mathilde à une station de métro, puis rejoint le reste du groupe qui nous a fait nous traîner d'un point à un autre, avant de supplier  de nos regards éteints Sarah et Floriane, nos hôtes pour la nuit, qui ont accepté de nous rouler jusqu'à Montrouge.

On a dormi peu, mais profondément ! Ça, je peux vous l'assurer.

Et le lendemain matin ? REBELOTTE !
L'avantage, c'est que là, on savait où c'était. Et on n'avais pas la valise. Moi, j'avais mon sac de fringues, mais c'était un moindre mal...Nous avions pris notre temps...Dimanche matin, ce n'était pas l'émeute. 


Il faisait encore un temps fort agréable. J'en ai donc profité pour me balader un peu plus, avec Jeanne, ou Mathilde (on tournait, pour tenir le stand, forcément...) et c'est là que j'ai vraiment compris qu'en fait, c'était un salon qui valait le détour !

Multitude d'activités, avec des compagnies qui ont des animations tout le week-end (je pense notamment à la Compagnie du dragon vert, qui, en plus d'avoir fait griller le cochon, a aussi organisé des démosntration et des joutes sur les deux jours), des conteurs, des musiciens, des gens en dédicace et plein d'exposants de qualité, avec plein de produits artisanaux (ou pas). Et des bénévoles sympathiques et accueillants dans l'ensemble.

J'ai eu la sensation d'un petit festival Trolls et Légendes. Ni plus, ni moins. Du coup, j'étais presque déçue de voir qu'il n'y avait pas plus de pub autour de cet événement parce qu'il le mérite vraiment. Surtout que c'était déjà la 7ème édition...

 Bien sûr, on sent le côté amateur, et bénévole de l'orga (après tout ce sont les élèves qui gèrent ça tous seuls, en plus de leur boulot d'étudiant à plein temps), mais ça n'en apporte que plus de charme. Un visage "humain" aussi, loin des grosses manifestations auxquelles nous étions habituées jusque là. On a notamment échangé avec l'un des orgas qui était vraiment très sympa et que l'on a recroisé avec grand plaisir aux Geek faëries, un mois plus tard, à Orléans. Et ça, ça fait vraiment plaisir.

Sont-y pas mignons ?


En tout cas, Les Elfics ont tous les ingrédients pour un salon réussi.
Nous, en tout cas, on a vraiment apprécié, et nul doute que l'on y retournera.

En attendant, je vous faire un petit tour rapide des autres aménagements !

En descendant l'escalier au bout de la salle où nous étions, on croisait quelques stands de micro-éditeurs, puis nous arrivions dans la salle des jeux de rôles. On a discuté un peu avec un m'sieur charmant qui nous a présenté plein de jeux différents. Moi qui suis totalement naïve dans le domaine j'ai été vraiment intéressée et amusée de voir tout ce qui pouvait exister dans le domaine ! Et même, si, le jeu de rôle majoritairement répandu s'inspire de fantasy médiévale, un peu à la seigneur des anneaux, il y en a d'autres qui se basent sur des univers très différents.
 Intéressant, donc.


Voici donc la première pièce. Avec au centre, plein de groupes disparates, occupés à jouer au Loup-garou et autres jeux, à même le sol, dans une ambiance conviviale et chaleureuse. Il y avait une autre salle à côté, que je n'ai pas photographié, avec des figurines. Si, si.

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La buvette ! ô combien essentielle...
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Plein de boîtes de jeux à disposition et prêtes à vous faire vivre des aventures épiques !

Et une ambiance très bonne enfant, avec les joueurs, sur le côté, absorbés dans des parties captivantes. En tout cas, ils étaient fort sages.

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On a un peu discuté avec un groupe, les ombres d'Esteren, que nous ne connaissions pas du tout ( des noobs dans le milieu du jeu de rôle, que nous sommes ! Surtout moi...) qui publiait des guides de jeux de rôle d'une qualité vraiment grandiose. Des vrais beaux bouquins. Le rendu était professionnel et les illustrations vraiment superbes. S'il n'avait été question que des illus, je leur aurait acheté un livre sans l'ombre d'une hésitation. Mais là, pour un guide que je ne sais pas utiliser, c'était un peu dommage...


Mais bon...quelle qualité ! Jugez-plutôt !







Après cet échange, nous sommes sorties dehors, pour voir qu'il y avait deux esplanades en extérieur. Une, à ce niveau-ci, et un autre, au dessus. Deux fois plus de stands que ce que je croyais, quoi !
Un chouette campement avec plein de trucs cools à voir...des cartes à jouer, des costumes, des bijoux, des livres, du cuir, des accessoires... ET DES GROS CHIENS !

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VOUIIIIIIII

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Et le reste du campement, dans la cour, au dessus.

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Notre salle à nous, vue de l'extérieur.

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Le stand de notre calligraphe préféré

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Et Mathilde, en bombasse, qui garde le stand.


Puis, vint l'heure de remballer...Malgré qu'on ait anticipé le coup, et que l'on avait pris avec nous des numéros pour appeler un taxi, on n'a pas réussi à en trouver un, prêt à nous véhiculer, là, un dimanche. On est retombé sur un orga pas très débrouillard qui n'a pas pu nous sortir de la panade...

Donc, ni une, ni deux, on a pris notre courage à deux mains et on s'est retrainé la valise..Mais bon, en descente, c'était quand même plus supportable que pour la montée. En tout cas, pour le prochain coup, on le saura !!!! On prévoit le véhicule !
Sur le retour, on s'est retrouvé avec un membre de l'assoc' Tolkiendhil dans le RER et c'était fort agréable de papoter. Et pourtant faire cohabiter du Seigneur des anneaux et du Harry Potter, c'était pas gagné. Mais, nous étions tous des gens de très bonne composition, et il y avait plein de discussions intéressantes à mener.

Mathilde nous a quitté aux alentours de la rive gauche, et j'ai raccompagné Jeanne à la gare du Nord. On a pris le temps de se déguster un muffin tardif, puis, se fut les derniers déchirements, avant que je me trénasse jusqu'à la gare de l'Est avant de conclure le week-end et l'aventure.

And...

THE END !

Pour conclure sur une touche pleine de pep's je vous laisse avec des photos de nous, plus professionnelles que jamais !

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Free bouffe is good for you !

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Ah, et une photo piquée à Philippe Halvick qui m'amuse beaucoup, pour finir !


Et hop ! A la prochaine ! More to come.

4 commentaires:

  1. Il est super ton compte rendu, très complet et juste, je suis d'accord avec tout ce que tu as dit! (J'avais oublié ma nuit blanche et le samedi soir à errer en espérant un lit! ^^)

    L'an prochain on prend ma caisse uesh.

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    1. Et je n'ai pas parlé des chansons d'Anastasia et de comédies musicales qu'on a braillé à 2h du mat en plein milieu des rues. Ahem. Il y a des parties de l'histoire qu'il vaut parfois mieux laisser dans l'ombre. Et je plussoie pour la caisse UESH.

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  2. Je connaissais ce festival de nom, ça donne envie d'aller y faire un petit tour un jour !

    Et je pense la même chose d'Esteren, l'équipe a l'air sympa pour les avoir croisés une fois et les illus sont superbes mais je ne connais pas du tout leur univers xD

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    1. Et bien c'est un chouette petit festival. Et puis, les gens y sont sympas et c'est gratuit ! Pourquoi se priver, n'est-ce pas ?
      Oui, belle découverte pour Esteren. Il faudrait que je feuillette leurs bouquins avec plus d'attention la prochaine fois...en tout cas, c'était vraiment réussi leur publications ! Dommage que je ne joue pas aux jeux de rôles ! ><

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